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Du son et de la vidéo cinéma à la maison

Démarré par rodi, 21 Juillet 2016 à 16:25:24

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Ce petit caisson de basson est étonnant pour sa taille :


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Voici le test de la nouvelle barre de son Sennheiser : https://blog.son-video.com/2022/11/test-sennheiser-ambeo-soundbar-plus-sub-un-son-3d-enveloppant-et-immersif/

CitationAprès la révolutionnaire barre de son Sennheiser Ambeo SoundBar Max, le spécialiste allemand revient en force avec un modèle plus compact : la Sennheiser Ambeo SoundBar Plus. Plus fine (77 mm d'épaisseur), cette nouvelle barre de son Sennheiser est désormais capable de s'intégrer sous tout téléviseur tout en restant très ambitieuse, avec une puissance de 400 watts RMS et une compatibilité Dolby Atmos 7.1.4. Elle reprend les nombreuses fonctions de son aînée, dont les entrées HDMI 4K, HDMI eARC, optique et RCA, ainsi que le streaming sans fil. La spatialisation Ambeo s'appuie toujours sur un calibrage automatique, désormais effectué par des micros intégrés. Les amateurs de basses puissantes seront également comblés de l'association avec le nouveau caisson sans fil Sennheiser Ambeo Sub. Cet ensemble peut-il créer un son 3D aussi immersif que l'emblématique Ambeo Max 

CitationAvec la nouvelle barre de son Sennheiser Ambeo SoundBar Plus, le fabricant allemand parvient à réduire l'épaisseur tout en portant le nombre de voies à 7.1.4 canaux, contre 5.1.4 pour l'Ambeo Max. Cette prouesse est rendue possible par l'intégration de 9 haut-parleurs, dont 7 modèles à large bande de 50 mm de diamètre. Ils sont complétés par deux haut-parleurs de 10 cm pour optimiser la reproduction des basses. Chaque haut-parleur s'associe à son propre module d'amplification pour maximiser la précision de la restitution et assurer une meilleure spatialisation des effets. Grâce à ses 9 amplificateurs de classe D, la barre de son Sennheiser Ambeo SoundBar Plus totalise une puissance de 400 watts RMS. De quoi profiter d'une reproduction efficace dans toute pièce de vie.

CitationIl est nécessaire d'activer la spatialisation Ambeo à l'aide de la télécommande ou de l'application mobile pour que la barre de son Sennheiser Ambeo SoundBar Plus déploie toutes ses capacités. Dès lors, elle subjugue par son talent à produire une scène sonore extrêmement vaste. La bande sonore se déploie aisément dans toutes les directions, bien au-delà des limites physiques de l'écran. Les effets latéraux semblent fuser de part et d'autre de la pièce. On profite d'un découpage correctement marqué et cohérent des différents canaux. Sur le film Inception, la scène du café Debussy où tout le quartier parisien se met à exploser est reproduite avec brio. On a l'impression d'être projeté au centre de l'image, avec des débris qui nous frôlent de tous les côtés, y compris au-dessus de nous. Bien que le film ne soit pas tourné en Dolby Atmos, la spatialisation Ambeo parvient à apporter une belle sensation de hauteur. 

CitationSonos Arc + Sub : proposée à 1699 € avec son caisson de basses (979 € sans le caisson), la barre de son Sonos Arc assure une reproduction sonore sur 5.1.2 canaux. Elle prend en charge de nombreux formats audio, dont le DTS:X et Dolby Atmos. La spatialisation offerte par cette barre de son Sonos est très efficace, avec des effets latéraux très marqués et une très bonne perception des dialogues. La Sennheiser Ambeo SoundBar Plus offre cependant une scène sonore encore plus enveloppante, avec des effets Atmos plus marqués. Sans caisson de basses, la Sennheiser Ambeo SoundBar Plus offre un grave plus ferme et plus puissant que la Sonos Arc. En revanche, lorsque la Sonos Arc est associée à son subwoofer, elle est capable de délivrer des basses nettement plus puissantes et plus profondes que la Sennheiser accompagnée de l'Ambeo Sub. Un point que l'on peut facilement résoudre en optant pour un autre modèle de caisson que celui proposé par Sennheiser. 

CitationDevialet Dione : commercialisée à 2190 €, la barre de son Devialet Dione présente l'indéniable avantage d'offrir des basses extrêmement profondes et puissantes sans avoir besoin d'utiliser un caisson externe. Seule, elle parvient à produire des basses nettement plus intenses et physiologiques que la Sennheiser Ambeo SoundBar Plus accompagnée de l'Ambeo Sub. Cependant, la Sennheiser est une fois encore plus enveloppante, avec une scène sonore plus large et des effets Atmos plus réalistes. Les effets verticaux comme horizontaux se déplacent très bien dans l'espace. 


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Une vrai nouveauté : la TV sans aucun câble



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Voici un test de la barre de son actuellement la plus chère signée Bang and Olufsen : https://www.on-mag.fr/index.php/video-hd/news/home-cinema/24828-test-bang-olufsen-beosound-theatre-passez-en-mode-mur-du-son-avec-cette-barre-de-son-home-cinema-d-exception

CitationUne fois la barre de son étalonnée, celle-ci offre une scène frontale véritablement complète. En fait, nous n'avons pas ici une barre de son mais plutôt un mur de son. La Bang & Olufsen Beosound Theatre propose un rendu extrêmement dynamique avec assez de punch pour concurrencer n'importe quelle autre barre de son, même accompagnée de son caisson de basses, la Sennheiser Ambeo Soundbar Plus comprise. Pas besoin de caisson additionnel, ici. Les graves sont assez puissants pour donner toute la profondeur et la chaleur nécessaires. Le niveau des basses est considérable avec une grande dynamique et assez de réactivité pour s'en délecter. En outre, la clarté n'est pas oubliée. En effet, les détails sont extrêmement nombreux et particulièrement fins. La moindre petite sonorité est perceptible et les sons d'arrière-plan sont excellemment bien traités. L'équilibre tonal est parfait. Tous les sons montent suffisamment haut pour donner non seulement l'impression qu'ils proviennent de l'écran mais aussi qu'ils arrivent du plafond lorsque c'est nécessaire.

Le rendu est extrêmement large avec cette barre de son. Elle offre une sensation de puissance incroyable et n'a aucun mal à remplir une pièce de 30 m² voire plus. Les films et les séries bénéficient d'une clarté extrême pour les dialogues donc parfaitement intelligibles, même à faible volume. La spatialisation est parfaite. Nous n'avons jamais entendu de scènes aussi larges avec une barre de son. Les bips du respirateur dans la chambre d'hôpital dans le film "Bullet Train" diffusé sur MyCanal résonnent dans toute la pièce. La scène du déraillement du train au ralenti est également un régal pour son ambiance sonore tournoyante. Et que dire des séquences de démonstration Dolby Atmos... Elles sont totalement sublimées, profitant d'une justesse impressionnante. Les effets sortent véritablement de la barre (du mur, pardon) pour arriver quasiment jusqu'au téléspectateur. Les objets sont parfaitement détachés, chacun sonnant à sa manière, dans son espace, sans empiéter sur celui des autres. Le niveau de détails est véritablement incroyable.


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Voici les tests du site homecinema-fr du lecteur de disques Magnetar UDP800 et du vidéoprojecteur Sony 4k VPL XW7000ES :

https://www.homecinema-fr.com/test-hcfr-magnetar-udp800/

CitationConclusion de Jeff_jacko

Lorsqu'OPPO a annoncé son arrêt, grand nombre d'entre nous se sont dit que la scène du matériel HC allait régresser et qu'il serait bien difficile de remplacer les produits de la marque par des concurrents.

Finalement un de perdu dix de retrouvés... ou presque.

En l'occurrence, Magnetar a su saisir l'opportunité de proposer un lecteur universel capable de remplir l'intégralité du cahier des charges des UDP-203/205. Faire un clone amélioré était assez logique en soi. Encore fallait-il le faire.

L'UDP-800 est un très bon lecteur dans l'absolu et le digne successeur des lecteurs OPPO.

À mis-chemin entre l'UDP-203 à vocation généraliste et l'UDP-205 plus orienté Hifi, le Magnetar UDP800 se révèle assez avantageux.

Certes, il n'y a pas tout d'un OPPO UDP-205 (sortie casque, sortie audio MCH, entrée USB en vue d'utiliser le lecteur comme DAC). Ni d'entrée HDMI, une connectique propre à OPPO très pratique mais pas exempte de problèmes ponctuels (les joies de l'HDMI !).

En quelques mot, l'UDP800 est un très bon lecteur vidéo qui pourra servir de transport relié à un processeur vidéo performant ou lorsque le diffuseur propose de nombreux processing vidéos performants.

Singulièrement, l'UDP800 se débrouille bien avec une mise à l'échelle d'excellente facture, un désentrelacement de très bon niveau et un sharpness opérationnel en dehors des DVD sur lesquels il ne fait rien.
La suite après une mise à jour et des améliorations ? Aucune idée, mais voilà déjà une suggestion à transmettre à Magnetar.

Côté audio, ce lecteur est irréprochable tant en liaison numérique qu'analogique.

En numérique via HDMI, la performance sonore est excellente, dynamique et précise à souhait. Signe d'une bonne conception notamment au niveau des alimentations des étages critiques du signal et de son traitement. Sans pour autant faire preuve d'extravagance au niveau des horloges.

La performance audio analogique est assurée par une conception DAC double mono en mode différentiel. Sur la base de puce PCM1795 Texas Instrument Burr-Brown, histoire de se rappeler qu'il n'y a pas qu'ESS et Asahi Kasei dans le monde des DAC haut de gamme.

Aussi bien à la mesure qu'à l'écoute, le UDP800 se révèle doué en reproduction musicale sans faire de chichi. Pas de sélection de filtre numérique, aucun artifice... uniquement un excellent décodage et une section analogique attenante de bonne facture.

OPPO n'est plus, mais finalement plus de regret, Magnetar reprend brillamment le flambeau !

Jeff_jacko
HCFR – Mars 2023



https://www.homecinema-fr.com/test-hcfr-sony-vpl-xw7000es/

CitationCompte-rendu de Nicolas_DTSman

Conclusion

Le Sony XW7000 est le projecteur 4k le plus lumineux que j'ai pu voir à l'œuvre, hors modèles professionnels je précise. Après avoir laissé l'appareil au prochain testeur et en revenant sur mon projecteur Epson, c'est surtout cet aspect qui marque la différence à mes yeux. L'œil s'habitue vite au confort offert par une forte luminosité.

Le système de ventilation reste, de surcroît, plutôt discret.

Le rendu SDR est le terrain de prédilection de ce vidéoprojecteur surtout sur de grandes bases d'image.

La réserve de luminosité conséquente a pour effet de renforcer les micro détails, le tout associé à une colorimétrie très naturelle.

Au niveau du contraste, on est ici plus proche d'un rendu typé DLP ou TriLCD. C'est-à-dire résiduel moyen mais très bon contraste intra-image.

Cette puissance, alliée ici à une gestion correcte (même si incomplète comme expliqué précédemment) du HDR, permet un rendu des films UHD en HDR très satisfaisant si la base n'est pas trop grande (i.e <3m).

Dans ce cas précis, le rendu HDR peut éventuellement se suffire à lui-même sans avoir l'extrême obligation de lui adjoindre un DTM externe.

Malgré tout, je ne peux qu'encourager les futurs acquéreurs à utiliser une source ou un scaler appliquant un DTM et attaquer ainsi le projecteur en SDR BT2020: le rendu de l'image n'en sera que bonifié. En attendant, peut-être un jour, l'implémentation d'un DTM directement au sein du projecteur lui-même.

Je salue aussi le retour à des matrices 16/9, ici format UHD 3840*2160. Les précédentes matrices 4K permettaient de glaner un peu en luminosité (en occupant 4096px de base au lieu de 3840px actuellement) au prix d'un léger cropping vertical, mais finalement elles généraient plus de complications dans la mise en œuvre.

Sony a également communiqué sur une meilleure fiabilité dans le temps de ces nouvelles matrices. L'avenir nous le dira.

L'appareil n'est pas compatible HDMI 2.1, un standard principalement utile pour les « gamers » pour bénéficier d'un flux 4k120Hz.

Toutefois, pour avoir aussi testé le XW7000 sur des jeux via la PS5, le rendu en UHD 60Hz est déjà très qualitatif et suffisamment fluide si on l'associe au MotionFlow « Bas ».

Coté points négatifs, ce que je retiens surtout, c'est l'uniformité de l'optique perfectible et quid des coins qui présentent des zones plus sombres? — ce qui, après quelques recherches sur le Net ne semble pas être un cas isolé — ainsi que la hausse du résiduel notamment provoquée par la hausse de la luminosité du laser.

À l'utilisateur de trouver le compromis idéal en fonction du réglage du laser.

Autre axe d'amélioration possible, ce sont les artefacts générés par le MotionFlow en mode Bas. Certains n'y seront pas sensibles; mais pour d'autres cela pourrait être rédhibitoire.

Si je résume, hors optique, la somme des principaux défauts que j'ai soulevés durant ce test relève davantage du domaine software que des capacités intrinsèques de l'appareil qui sont, quant à elles, bien là : gestion du tone mapping HDR, gestion du blancking, gestion du motion flow, gestion du laser dynamique... En tant qu'utilisateur ou client potentiel, on pourrait donc espérer des correctifs/améliorations à l'avenir, par mise à jour software notamment.

Un grand merci à Sony pour le prêt de ce XW7000.


Frog

ca vaut pas une bonne vieille TV cathodique !  :9

rodi

Bonjour,

Citationca vaut pas une bonne vieille TV cathodique !

Pour te faire plaisir, les vidéoprojecteurs 8k arrivent : https://blog.son-video.com/2023/05/nouveau-projecteur-laser-hisense-8k-on-en-sait-un-peu-plus/

<< On en sait un peu plus sur le projecteur Hisense laser 8K annoncé lors du dernier CES. Le Hisense 100LX 8K peut projeter des images ultra détaillées (7680 x 4320 pixels) avec un très large espace colorimétrique. Il exploite un laser numérique Hisense LPU et prend en charge le Dolby Vision. Ce laser TV Hisense bénéficie par ailleurs d'un système audio Dolby Atmos 4.1.2 canaux signé Harman Kardon. De plus, il peut se contrôler par gestes ou par commandes vocales. De quoi asseoir un peu plus la notoriété des laser TV Hisense sur le marché mondial !

Projecteur laser Hisense 100LX 8K : Dolby Vision, BT.2020
Le projecteur laser Hisense 100LX 8K utilise la technologie laser numérique propriétaire LPU qu'on retrouve, par exemple, sur le Hisense 120L9G-A12. Il profite ainsi d'une très large couverture colorimétrique atteignant 110 % du gamut BT.2020. Une configuration idéale pour offrir une extraordinaire palette de nuances avec 1,07 milliard de couleurs affichables. >>

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 Voici le test d'un vidéoprojecteur à focal courte :

CitationLe projecteur Leica Cine 1 est un modèle DLP 4K ultra courte focale doté d'une lampe triple laser RVB très lumineuse (2500 lumens). Il profite d'une optique en verre hautes performances, domaine d'expertise du fabricant allemand, gage d'une image précise et détaillée. Tuners TNT, câble et satellite, services de streaming, ports HDMI et USB, son Dolby Atmos : rien ne manque à ce laser TV haut de gamme pour remplacer le téléviseur du salon. Mais l'excellence à un prix : facturé 8495 € dans sa version 100″/2,5 m de diagonale, le Leica Cine 1 est-il à la hauteur de l'investissement consenti ?

CitationÀ l'instar du projecteur BenQ V7000i, un panneau de protection motorisé se déploie automatiquement à la mise sous tension du Leica Cine 1. Une fois le projecteur éteint, il coulisse pour protéger l'objectif. C'est très pratique pour protéger l'objectif de la poussière (moins d'entretien) et des petites mains trop curieuses !
Ce dernier adopte des lentilles en verre de très haute qualité, réalisées selon un strict cahier des charges établi par le fabricant. C'est la promesse d'une image à la précision chirurgicale, sans aucun défaut d'uniformité.

CitationSur le film Top Gun Maverick en Blu-ray 4K HDR, le Leica Cine 1 nous a fait une véritable démonstration. L'image bénéficie d'une définition ahurissante, avec un piqué assez comparable à ce qu'un projecteur 4K natif Sony SXRD ou JVC D-ILA est en mesure d'offrir ! C'est du jamais vu pour un projecteur ultra courte focale DLP. La qualité de l'optique du Leica fait ici toute la différence avec la concurrence, garantissant une parfaite transmission du flux lumineux vers l'écran. L'image fourmille de détails et bénéficie d'une incroyable netteté.

Les couleurs sont intenses, riches et nuancées. Les dégradés de luminosité sur les scènes enneigées attestent de l'excellente gestion du HDR par ce projecteur. Le traitement d'image propriétaire Leica Image Optimization (LIO) fait ici toute la démonstration de son efficacité.

Le contraste est remarquable, avec des noirs profonds et une belle palette de nuances dans l'échelle de gris jusqu'au plus hautes lumières les plus étincelantes.

https://blog.son-video.com/2023/06/test-projecteur-leica-cine-1-la-projection-ultra-courte-focale-a-son-apogee/

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Le blog son-video.com a testé la barre de son Samsung HW Q990C : https://blog.son-video.com/2023/06/test-samsung-hw-q990c-la-barre-de-son-dolby-atmos-la-plus-immersive/

CitationCe home-cinéma Samsung HW-Q990C abandonne la fonction de calibrage automatique présente sur la précédente version au profit du mode son Adaptatif+. Ce dernier analyse en temps réel le contenu audio diffusé ainsi que le son ambiant (à l'aide du microphone intégré à la barre de son) pour adapter en continu le rendu sonore à la pièce d'écoute. Le son est donc optimal en toutes circonstances, et vous n'aurez pas à relancer une calibration si vous modifiez un tant soit peu l'agencement de votre salon.

On peut sélectionner cette fonction directement depuis la télécommande de la barre de son (bouton Sound Mode) ou bien dans le menu de réglages du téléviseur, si on a activé la fonction Q Symphony (menu Général et Confidentiel / Paramètres du mode Intelligent). Elle est également accessible dans l'application SmartThings qui permet aussi d'intervenir sur différents réglages audio pour personnaliser et optimiser le rendu sonore.

CitationQue l'on regarde Ken Miles courir au Mans à bord d'une GT40 ou qu'on s'y essaie soi-même sur Gran Turismo 7, les effets sonores nous enveloppent littéralement. Sur les scènes filmées à l'intérieur du cockpit, on localise précisément les véhicules concurrents, qu'ils soient devant, sur les côtés ou derrière nous. Grâce à la technologie Q Symphony, l'immersion est encore plus prégnante, avec davantage de hauteur sur les effets frontaux.

CitationSur les scènes de poursuite et les fusillades du film Operation Fortune, la Samsung HW-Q990C nous montre toute l'étendue de son talent. Le caisson de basses fait rugir le V8 de la Ford Mustang '66 avec une belle énergie. La barre de son et les enceintes surround se montrent parfaitement à l'aise pour spatialiser avec une extrême précision le son des balles qui fusent de toute part dans la pièce. C'est d'autant plus appréciable que, malgré la débauche d'effets sonores, les voix demeurent parfaitement audibles. On se régale !