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Jeux sur la Switch

Démarré par Frog, 18 Janvier 2019 à 14:26:44

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rodi

CitationLa semaine dernière, le studio Yacht Club Games indiquait la tenue d'un live Yacht Club Games Presents pour le premier jour de février, et qui promettait une annonce fracassante. Et bien que l'on ait eu droit au spin-off Shovel Knight Pocket Dungeon en décembre et à un jeu publié par la société comme Cyber Shadow (qui fait d'ailleurs l'objet de soldes pour son anniversaire), le titre qui l'a fait connaître est tout de même bouclé depuis plus de deux ans... Or ça y est, la relève est là et ce n'est pas une suite de Shovel Knight qui a été dévoilée durant l'émission que l'on peut (re)voir en fin d'article. Néanmoins, Mina the Hollower est lui aussi résolument néorétro, avec une esthétique cette fois inspirée par la Game Boy Color et un gameplay d'action-RPG en vue du dessus à la Zelda, même si le titre emprunte aussi à Castlevania son fouet, et même au bien plus récent Bloodborne paraît-il ! Et près de neuf ans après Shovel Knight, il a lui aussi recours à Kickstarter et le succès est une nouvelle fois au rendez-vous. Lancée hier soir, la campagne a d'ores et déjà atteint son objectif, et il n'y a (pour le moment) aucun palier additionnel d'annoncé... Il faut dire que Yacht Club Games a sans doute retenu les leçons de son précédent jeu, ayant passé six ans à tenir toutes les promesses qui avaient été faites durant la campagne. Il n'est pas nécessaire de se dépêcher non plus puisqu'il n'y avait pas de tarif préférentiel pour les premiers venus. Ce sera au moins $20 (18 €) pour réserver sa copie du jeu, attendu a priori en fin d'année prochaine, sur PC via Steam ou sur la console de votre choix. On pourra suivre ses avancées sur le compte Twitter dédié.


rodi


rodi

CitationNéanmoins, il faut reconnaitre que c'est en partie ce côté foutraque qui confère à Okinawa Rush son charme tout européen, sa patte « brochette bœuf-fromage ».  Comme dans The First Samurai (1991) et dans pas mal de productions britanniques de la même période, le level design croule sous les objets interchangeables à ramasser, qui ne font que monter le score ou donner quelques points de vie chacun... Les mécaniques de gameplay sont également empilées dans un élan de générosité un peu candide, avec des otages à libérer, de nombreux secrets parfois bien ésotériques – à quoi servent ces salles dans lesquelles le temps semble ralenti ? – ou encore une série de combos à réaliser au début de chaque niveau, qui a le mérite de nous les remettre en tête, il est vrai. Il faut dire aussi que l'aventure n'est composée que de cinq niveaux, ce qui explique qu'ils soient si vastes et qu'on comprenne difficilement dans quel ordre les explorer, sachant qu'on ne pourra hélas pas toujours revenir sur ses pas. La maison de la fin du troisième, avec ses multiples portes à l'arrière-plan, m'a franchement déboussolé mais j'ai davantage apprécié le dernier malgré son système de clés assez particulier. Et même si les boss ne reprennent pas leur énergie quand on perd une vie (là encore le signe d'une concession à une difficulté aléatoire), certains affrontements sont bien laborieux comme celui contre les trois petits vieux identiques à la fin du troisième stage.

Et la réalisation est tout à fait dans le ton de cet esprit gaijin. Par exemple, les musiques sont réellement marquantes, mais d'autant plus impressionnantes qu'elles sont assez inattendues, plus dans l'ambiance hip-hop d'un délire référentiel de Quentin Tarantino que d'un authentique film de kungfu. Graphiquement, c'est globalement très réussi comme on peut le voir dans les captures d'écran, quoique parfois inégal avec quelques animations un peu rigides par-ci par-là. Mais ce sont plutôt les illustrations des cinématiques ou des portraits lors des dialogues qui jurent avec le reste je trouve, trahissant là encore assez souvent l'œuvre d'un apprenti mangaka et non d'un pixelartiste japonais de l'âge d'or de la 2D. Il n'est néanmoins pas interdit d'être charmé par ce style, loin de là, et surtout cela n'empêche pas Okinawa Rush d'être malgré tout fort sympathique, à défaut d'être inoubliable. Et puis je tiens à rappeler que je n'ai pas eu l'occasion de tester le mode coopération à deux joueurs, qui doit être sacrément fendard même si j'imagine assez mal comment l'éloignement des personnages est géré compte tenu de la hauteur des sauts et la vitesse des déplacements... N'hésitez pas à en parler en commentaire si vous l'avez essayé.

Verdict : Davantage influencé par les productions Amiga de ses compatriotes que par les classiques japonais, Okinawa Rush est souvent jubilatoire mais joyeusement bordélique.

https://mag.mo5.com/a-la-une/217537/test-okinawa-rush-international-karate-plus-ou-moins/


Frog

on dirait le grand frère du jeu Ninja Spirit !

rodi


rodi

CitationSi le somptueux Blasphemous n'avait pas étanché votre soif d'action-RPG aux animations gore et détaillées, vous serez sans doute tenté par Meifumado et son Japon post-apocalyptique où les rōnins se démembrent au milieu des ruines de villes ravagées par la guerre... Le jeu est d'autant plus impressionnant qu'il est seulement développé par le trio Old Bit mené par le Biélorusse Denis Galewski. Mais c'est pour cela qu'il a besoin d'un coup de main financier via une campagne Kickstarter à l'objectif toutefois modeste, où il est encore temps de profiter du tarif préférentiel de $15 (14 €) pour réserver sa copie du titre sur PC via Steam ou sur consoles Xbox, PlayStation et Switch. Il faudra toutefois monter à $40 (37 €) pour bénéficier d'un accès privilégié à une démo à différentes étapes du développement, histoire de mieux évaluer son gameplay promettant un système de combat très riche, de l'exploration non linéaire, du crafting ou encore des quêtes secondaires vraiment scénarisées et que l'on peut approcher de différentes manières... Sinon, il faudra au moins patienter jusqu'à novembre 2024, date de sortie estimée pour le moment.

https://mag.mo5.com/actu/219002/meifumado-un-superbe-action-rpg-sauce-samourai-sur-kickstarter/


Frog

ca aurait pu faire un bon petit jeu d'arcade !

Death Adder


rodi


Frog

25 euros c'est pas donné.
La voix de la présentatrice est surprenante

rodi

CitationLa voix de la présentatrice est surprenante

Gia était animatrice jv au début de l'existence de Game One :


Death Adder

#266
Citation de: Frog le 27 Mars 2022 à 13:19:22
25 euros c'est pas donné.
La voix de la présentatrice est surprenante
Il y aura 48 circuit et on ne paye qu'une fois.
Alors 25÷48=0,52€ par circuit, c'est donné (thank)

Citation de: rodi le 27 Mars 2022 à 20:36:17
CitationLa voix de la présentatrice est surprenante

Gia était animatrice jv au début de l'existence de Game One
Elle était avant cela testeuse de jeux sur Console +  (winkglasses) book2

rodi

CitationEn début de mois, les précommandes des éditions physiques de Pocky & Rocky Reshrined avaient été ouvertes par ININ Games, et on savait alors déjà que les versions limitées seraient proposées plus tard par l'autre filiale du groupe United Games Entertainment, Strictly Limited Games... Eh bien à moins d'un mois de la sortie du nouveau Tengo Project (The Ninja Saviors) en dématérialisé, c'est cet après-midi à 16h qu'elles seront mises en vente sur PlayStation 4 et Switch. On remarque toutefois que l'on a quatre offres par console à notre disposition au lieu des trois habituelles, et ce à cause de l'adorable peluche du tanuki Rocky qui vous implore déjà l'acheter ! En effet, il y a d'une part les éditions standard (PS4, Switch) avec manuel inclus à 29,99 €, et d'autre part les éditions collector (PS4, Switch) dans leur coffret truffé de goodies (B.O., poster, amulette, diorama, gomme, etc.) pour 69,99 €, mais on a la possibilité d'opter pour la peluche avec les premières (PS4, Switch) à 59,99 € ou avec les secondes (PS4, Switch) à 99,99 €. Cela vous demandera toutefois la patience d'un moine shintoïste puisque les expéditions ne sont pas prévues avant l'automne, alors que les éditions non limitées sont pour rappel attendues fin juin

https://mag.mo5.com/actu/220851/des-editions-limitees-cet-apres-midi-pour-le-nouveau-pocky-rocky/


rodi


rodi

CitationAprès quelques heures en compagnie de Souldiers, difficile de ne pas être enthousiasmé par cet action-platformer développé par le studio Retro Forge. Tout ou presque est impeccable. La direction artistique, les sensations, le gameplay. Surtout que ce dernier - avec trois personnages jouables - promet de s'étoffer à la longue, grâce à un arbre de compétences, des pouvoirs issus de boss et des armes secondaires. Sans oublier un plus non-négligeable : une emphase assez surprenante sur la narration qui promet de rythmer agréablement une durée de vie qui s'annonce plutôt conséquente. Comme d'habitude, il faudra donc attendre d'avoir la version complète entre les mains, qui semble pour le moment un peu pécher par excès, que ce soit un premier donjon trop long ou des phases qui dépassent le "corsé mais agréable". Mais c'est certain : on a hâte d'y replonger.

https://www.jeuxvideo.com/preview/1558697/souldiers-un-futur-incontournable-de-l-action-plateforme.htm