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jeux sur la Switch
rodi:
Test Mo5.com d'Actraiser Renaissance : https://mag.mo5.com/a-la-une/209448/test-actraiser-renaissance-le-retour-de-lange-dechu/
--- Citer ---Alors au final, le cœur vibrant est toujours là, Quintet est toujours là, l’action est toujours limitée, le god game encore plus présent (j’y ai passé trois heures par map, facile), les champions enrichissent l’expérience et le Yūzō Koshiro ne déçoit pas, comme toujours. La D.A. finalement, la D.A. c’est une goutte d’eau dans un océan que vous pouvez faire pleuvoir à votre guise. ActRaiser est là, toujours aussi unique et encore plus riche. Mais encore plus moche. Mais si vous aimez ActRaiser, son lien entre le micro et le macro, entre votre combat de Démiurge et celui des insectes de la surface, vous saurez largement passer outre.
Verdict : Oubliez la direction artistique, Actraiser Renaissance sublime l’original et nous emporte dans ce combat du Bien contre le Mal où chaque vie compte, le tout sur des thèmes inoubliables.
100 hbpm
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Frog:
--- Citation de: rodi le 21 octobre 2021 à 18:09:37 ---Test Mo5.com d'Actraiser Renaissance : https://mag.mo5.com/a-la-une/209448/test-actraiser-renaissance-le-retour-de-lange-dechu/
--- Fin de citation ---
oui j'ai vu ça.
C'était un jeu mythique de la Super Famicom.
J'ai trouvé ça risqué comme pari d'en faire une version REMIX HD !
rodi:
--- Citer ---La partie visuelle n’a pas spécialement bougé... Les jeux de lumière sont plaisants, les environnements sont propres et l’effet granuleux à l’image est toujours aussi agréable à la rétine. La résolution est dorénavant plus grande (adieu le 720p), les textures sont plus nettes et appréciables pour le coup. Concernant les possesseurs de la Switch, notez qu’il y a de légères saccades de temps en temps en mode TV, lorsque le titre charge un élément à l’écran. Point à prendre en compte, si vous achetez une version PS4 ou Xbox One, vous pouvez obtenir gratuitement l’édition PS5 ou Xbox Series ; le titre a alors droit à un rendu plus fin.
La prise en main est LE point qui nous inquiétait. Et pour cause, le gyroscope est mis à contribution à la base. Alors ? Eh bien, il y a de quoi se tirer les cheveux. En effet, à des moments cruciaux, il faut mettre la caméra à la verticale et donc gesticuler dans tous les sens pour placer l’objectif. C’est dérangeant, fastidieux, ennuyant, surtout que nous perdons le fil rapidement. Oui, il est possible d’aller dans les paramètres pour gérer les angles uniquement avec le joystick et les gâchettes, c’est un peu plus confortable. Seule la version Switch arrive à se distinguer des autres adaptations puisque, en mode Portable, le gameplay est plus instinctif, les mouvements sont plus naturels, nous avons littéralement l’impression de tenir un appareil photo.
Project Zero : La Prêtresse des Eaux Noires demande une dizaine d’heures pour arriver au bout du tunnel. Et après ? Les missions amusantes, où nous prenons le contrôle d’Ayane (personnage de la licence Ninja Gaiden, qui fait aussi le show dans Dead or Alive) sont toujours présentes. Un brin de nouveautés dans environs ? Un mode Photo... Rien d’excitant en soi. En parlant de choses « excitantes », sachez que les développeurs ont inclus de nouveaux costumes, comme des... maillots de bain, des tee-shirts mouillés et des robes gothiques. Entre les tenues légères et les spectres avec des poitrines démesurées, ce n’est pas la peur qui va vous envahir... En somme, du pur Koei Tecmo.
--- Fin de citation ---
https://gamergen.com/tests/test-project-zero-la-pretresse-des-eaux-noires-de-quoi-trembler-pour-halloween-impressions-verdict-note-plus-moins-324399-1
rodi:
Pix'n'Love propose une édition collector pour Blazing Chrome PS4 et NS :
https://www.editionspixnlove.com/game-series/959-blazing-chrome-edition-collector-ps4-9782371881549.html
https://www.editionspixnlove.com/game-series/958-blazing-chrome-edition-collector-switch-9782371881532.html
rodi:
--- Citer ---Mais il est finalement heureux que ce boss nous résiste, puisque c’est le dernier, du moins sa première forme. Car il n’y a que cinq niveaux et si l’on ne meurt pas, on peut en effet boucler le jeu en moins d’une heure, à la manière de bon nombre de grands hits de l’arcade me direz-vous. Heureusement, Steel Assault affiche un tarif un peu plus doux que pas mal de jeux indé ces derniers temps, au hasard Battle Axe, mais il se montre surtout moins répétitif et bien plus agréable à parcourir il me semble, à un ou deux passages près comme le boss sus-mentionné ou la fastidieuse séquence en scrolling forcé du troisième niveau. À vrai dire, il aurait peut-être été plus pénible s’il avait été plus long, à l’image de certains classiques qui ne savent pas quand s’arrêter ; ce qui est plutôt regrettable, c’est l’absence de chemins alternatifs, d’un arsenal plus varié ou de secrets à découvrir qui auraient davantage motivé à se le refaire pour le plaisir. Vu le nombre d’années que le jeu a mis à éclore, et compte tenu du niveau de détail parfois hallucinant de ses décors superbes, il est souvent bien dommage de les traverser en une poignée de secondes.
Verdict : Aussi sublime qu’il est impitoyablement court et linéaire, Steel Assault déroutera peut-être plus par sa difficulté mal réglée que par son gameplay épuré mais pas si simple à maîtriser.
--- Fin de citation ---
https://mag.mo5.com/a-la-une/211357/test-steel-assault-le-run-and-gun-a-courte-portee/
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