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Alors, qu'est-ce qu'elle a dans le ventre la dernière exclusivité majeure PS4 ? Le résultat est plutôt mitigé. D'un côté le titre, visuellement solide, transpire le dépaysement à tous les étages et ses environnements ne demande qu'à être explorés. Le tout est de plus soutenu par un système GPS guidé par le vent qui, s'il n'est pas sans défaut, a le mérite de faire regarder le joueur devant soi plutôt qu'une mini-map. Mais c'est après quelques heures que l'on ressent quelque chose de bancal. Déjà au niveau des combats dont certains choix surprenants, comme l'impossibilité de voir le nombre de munitions de certaines armes en un coup d'oeil, alourdissent l'ensemble. Surtout que les combats, ils sont un peu beaucoup trop au coeur de Ghost of Tsushima. La quasi-intégralité des missions, quelles soient secondaires ou principales, demandent de faire le ménage dans un camp, ce que le joueur aura déjà largement l'occasion de faire au cours de ses balades. Le tout n'est pas aidé par l'écriture, assez pauvre et mécanique, qui contient quand même quelques fulgurances (notamment en ce qui concerne la lente transformation de Jin, le héros). Bref, on fait très souvent la même chose et ce qu'on nous y raconte n'est pas passionnant. S'en dégage un léger goût amer, qui s'estompe lorsque le titre nous laisse les mains libres mais qui revient quand on retombe sur une quête ou un énième campement à nettoyer. Le jeu de Sucker Puch n'en reste pas moins agréable à parcourir et complet (15h en ligne droite pour la quête principale). Mais ce n'est pas une claque. Plutôt une main tendue vers le Japon féodal que l'on acceptera volontiers.
Cette production signée FMV Future en collaboration avec Allan Plenderleith (auteur et directeur sur The Bunker) et codévelopée par Wales Interactive se présente comme une simulation de livestream avec plusieurs embranchements narratifs mettant donc en scène une joueuse qui partage ses parties sur la Toile sur une plateforme factice. Nous y suivons Abicake99, dont le rôle est interprété par l'actrice Alexandra Burton, en ayant le rôle du modérateur de son chat en temps réel, l'histoire prenant place après son retour en ligne suite à la mystérieuse disparition de son amie Becky. Notre rôle est donc de contrôler le stream, de gérer les subs et guider les choix d'Abi, sauf que l'ambiance va vite tourner au thriller alors que la jeune femme est menacée par un prédateur la harcelant, se cachant justement parmi ses viewers, comme le prouve la fin de la vidéo.
En retour, certains internautes ont déclaré que le jeu pourrait au contraire apparaître comme misogyne et promouvoir à sa manière la culture du harcèlement aux yeux de certains détraqués. Le fait que le modérateur soit un homme semble également problématique pour certaines personnes, d'autres allant jusqu'à s'en moquer en parlant de « simp simulator », un terme péjoratif apparemment utilisé pour désigner des hommes se montrant trop sympathiques avec les femmes dans le seul but d'obtenir quelque chose d'elles en retour et une certaine validation de leur part.Ces points de vue peuvent se comprendre, mais cela pose tout de même la question de la liberté de création. D'autres ont été plus loin en allant fouiller sur le site de l'éditeur pour mettre en avant le fait que l'équipe est composée uniquement d'hommes... Sauf qu'ils ne sont pas responsables de la création du jeu, juste de sa diffusion comme relevé ensuite, quand bien même cela aurait eu un quelconque impact.
oui effectivement c'est très douteux
L'éditeur Hi-Rez est un spécialiste des jeux multijoueurs, avec des succès comme SMITE et Paladins. Il espère renouer avec le succès avec Rogue Company, un TPS tactique et rempli d'action où nous incarnons des agents d'élite aux compétences propres dotés d'armes et de gadgets en tout genre. Le projet était prévu pour cet été et, surprise, il est finalement disponible via une bêta fermée dès aujourd'hui sur PC, PS4, Xbox One et Switch, avec du cross-play et du cross-save.
Alors que nous n'attendions pas vraiment un remake de Destroy All Humans!, il faut avouer que le travail effectué par Black Forest Games force le respect et permet encore aujourd’hui d'apprécier l'atmosphère irrévérencieuse de ce titre parodiant avec délice la science-fiction des années 50. Ayant peaufiné la forme, le fond, déjà efficace en 2005, a plutôt bien vieilli. Cependant, on y trouve logiquement les mêmes défauts qu'à l'époque, de la construction chapitrée un peu obsolète à la difficulté parfois agaçante en passant par un scénario prétexte à une succession de missions plus promptes à mettre en avant des dialogues incisifs entre Crypto et Orthopox qu'à nous raconter une histoire digne de ce nom. Malgré tout, le fun est toujours présent et exploser des bâtiments, désintégrer des agents du Majestic ou extirper le cerveau des humains fait encore son petit effet, 15 ans après l'original.
Fall Guys : Ultime Knockout est une petite bulle de bonheur dans un genre - le battle royale - qui se résume aisément aux combats par armes à feu. Avec son concept inspiré de shows télévisés bien connus, le titre prouve que les parties en ligne à grande échelle peuvent aussi être déjantées et grand public. Mais Fall Guys n'est pas qu'une succession de courses rigolotes, et est suffisamment bien pensé pour proposer des situations variées (aussi bien en équipe qu'en solo, où il faudra parfois survivre plutôt qu'atteindre une ligne d'arrivée) qui ont le bon goût de ne pas frustrer le joueur dans la dernière ligne droite. En l'état, on regrettera tout de même un manque de contenu (une vingtaine de niveaux répartis en quatre catégories) qui devient assez flagrant lorsque les mêmes épreuves reviennent en boucle. Mais ce n'est que le début pour Fall Guys dont le contenu, par l'intermédiaire d'un système de saison, sera par la suite étoffé. Et le simple fait d'y avoir goûté donne envie d'en voir plus. Il en résulte un bon jeu, qui deviendra sans doute très bon avec l'arrivée de nouveaux challenges et la correction de petits problèmes techniques.
Dans la journée d'hier, Epic Games annonçait l'ouverture de ses "Méga Réductions" ; dorénavant, "toutes les offres en V-bucks et en argent réel" de Fortnite diminuent leur prix de manière permanente jusqu'à 20%. 1000 V-Bucks coûtent désormais 7,99€, et non plus 9,99€. Seulement, pour que ces promotions définitives s'appliquent sur l'App Store et le Play Store, il est nécessaire de passer par l'option "paiement direct Epic" ; une solution, selon l'entreprise, pour contourner la taxe "exhorbitante" de 30% imposée par Apple et Google. "S'ils réduisent leurs frais sur les paiements, Epic répercutera ces réductions sur les joueurs", a t-elle ensuite déclaré. Une suggestion qui est loin de satisfaire les deux concernés, dont les réponses ont rapidement été publiées.Apple riposte le premier à la nouvelle stratégie d'Epic, et retire directement le jeu de son store. La boîte de Tim Sweeney décide alors, sans attendre, de lancer une procédure judiciaire à l'encontre de celle de Tim Cook.Google a très vite pris des mesures semblables, retirant à son tour le jeu du Play Store
Pour le reste, nous avons pris beaucoup de plaisir à pratiquer ce Titan, un modèle stable sur ses pieds ajustables, confortable avec son siège épais, et qui a su accueillir sans broncher l’ensemble des équipements que nous lui avons présentés. Esthétiquement réussi, avec une peinture assez qualitative, il devrait faire le bonheur des pilotes réguliers et se classe naturellement parmi nos références préférées dans la catégorie des cockpits grand public. Il rate néanmoins de peu la marche des cockpits pro, la faute à quelques éléments qui manquent de praticité et de longévité, mais offre un niveau de prestation remarquable au regard de son tarif maîtrisé, quel que soit le type de volant ou de pédalier que vous comptez installer dessus.