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et aux dernières nouvelles Days Gone et God of war sortiront bien en 2018
Finir l’ensemble des contenus additionnels de Resident Evil 7 procure une sensation étrange : celle que la page RE7 est tournée. Tous les éléments propres à cette intrigue ont trouvé une conclusion et ceux qui attendaient quelques grosses révélations en seront pour leur frais. Le jeu et ses DLC semblent faits pour fonctionner en vase clos, d’ailleurs il n’était nullement besoin de connaître tout l’historique Biohazard pour jouer et profiter du septième épisode. On le ressent dans l’écriture mais aussi dans l’ambiance : en dehors de Filles et La Chambre, la peur et le malaise sont les principales victimes du season pass. Le contrat de base de Resident Evil 7 a été un peu oublié en cours de route, qui se cantonne à quelques bons moments comme avec La chambre, La fin de Zoé ou Pas un héros, mais en définitive un ensemble bien trop creux pour mériter d’investir les yeux fermés.Même les mordus d’approfondissement diégétique n’y trouveront pas spécialement leur compte. Tout juste y apprend-t-on que Chris ne s’est pas réellement vendu à Umbrella et que ces derniers prétendent “avoir changé”. On connait tous ce genre de discours, cette histoire finira très mal si jamais elle finit un jour. Bref, de quoi occuper une après-midi pluvieuse, guère plus et ce ne sont pas les modes de difficulté avancée qui permettront de changer l’impression de lassitude qui émane de certains DLC. A la question : l’acquisition de ces modes/niveaux/scénarios supplémentaires est-elle indispensable ? Le jury a répondu non. Il y a donc matière à réfléchir à deux fois avant de se jeter sur Resident Evil 7 Gold Edition quand on peut trouver le jeu original pour moitié moins cher, surtout que l’un des meilleurs contenus est de toute façon gratuit.