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D'aussi loin que le trentenaire que je suis s'en souvienne, Remedy Entertainment a toujours occupé une place de choix sur la scène vidéoludique. Bon nombre de leurs jeux sont aujourd'hui cultes. À travers les franchises Max Payne et Alan Wake ou encore la tentative cross-média Quantum Break, le studio finlandais n'a cessé de se réinventer. Control, fruit d'une collaboration avec l'éditeur 505 Games, poursuit ainsi une quête interactive et narrative débutée il y a près d'un quart de siècle. Mais ce TPS surnaturel peut-il prétendre à un destin hors du commun ?
Sans être totalement déplaisant, ce premier épisode de l’anthologie The Dark Pictures Anthology n’en reste pas moins très décevant. Alors que le jeu à cinq se montre sympathique et qu’on s’amusera à essayer de voir l’ensemble des fins possibles, Man of Medan est vite rattrapé par une qualité d’écriture très moyenne et un niveau technique abominable synonyme de saccades et autres freezes constants. On déplorera également un surplus de jump scares et un rythme déséquilibré synonyme de nombreuses longueurs. Bref, un coup d’essai avec du potentiel mais qui ne convainc pas à l'arrivée en espérant que les problèmes soulevés soient résolus pour les prochains opus.
L’action de Blair Witch se déroule deux ans après la disparition de Heather, Mike et Josh, les étudiants en cinéma aperçus dans le premier film. Le joueur incarne Ellis, un ancien policier qui décide de se rendre utile en participant aux recherches organisées par les forces locales pour retrouver Peter, un gamin disparu dont les traces s’évaporent mystérieusement à l’entrée des bois de Black Hills. Cela fait déjà un long moment que la forêt est le théâtre d’événements étranges, si bien que les habitants de Burkittsville sont convaincus de l’existence d’une sorcière infestant les environs
Un des arguments non négligeables de Full Body vient bien évidemment de sa refonte graphique. Le meilleur qualificatif que l’on pourra donner à ces améliorations est : Satisfaisante. Le jeu tourne en 1080p/30 fps (même sur PS4 Pro), l’absence de 60 fps n’est pas foncièrement regrettable étant donné le rythme du jeu et les rotations de caméra très rares lors des phases d’escalade. Un passage à la 4k aurait évidemment pu beaucoup profiter au jeu mais la disparition presque totale de l’aliasing suffit à nous faire passer la pilule. On regrettera cependant une résolution plus faible lors des séquences animées de l’original tandis que les passages inédits paraissent bien plus nets et détaillés. Notons tout de même la finesse des traits assez inégale, capable du meilleur comme du pire sur certaines frames. Régulièrement très jolies, souvent correctes, elles sont à de rares occasions assez ratées pour qui est habitué des productions animées à gros budget
Grâce à ses trois options très pratiques et à ses modèles retravaillés, Final Fantasy VIII Remastered est une version idéale pour découvrir ou redécouvrir la pépite de SquareSoft sortie il y a 20 ans. On la parcourt sans frustration et sans difficulté, sur console comme sur PC (avec plus d’options de triche), avec un standing certes digne, mais qui aurait gagné à être plus élevé. On pense notamment aux décors, désormais assez fades et flous, au ratio 4/3 (sur consoles) ou même aux musiques, qu’on aurait aimé entendre en version remasterisées et réorchestrées, une feature présente sur les mods PC non-officiels, et sur The Zodiac Age, la remasterisation d’FFXII
http://www.jeuxvideo.com/test/1100984/final-fantasy-viii-remastered-plus-facile-plus-rapide-mais-toujours-aussi-prenant.htm